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stade de vanves - Page 129

  • 15 BOULISTES DE VANVES RENDENT HOMMAGE A LEUR PRESIDENT

    Une quinzaine de boulistes avec le président de la section pétanque et un repré »sentant du comité Bouliste 92 ont accompagné jeudi après-midi leur président, Alain Jaunas qui est décédé Dimanche dernier, à sa dernière demeure à Rozoy Le Vieil dans le Loiret. Ce qui a énormément touché son épouse qui leur a confié que « la boule lyonnaise était une de ses passions  et qu’il en parlait beaucoup ». Une cérémonie religieuse toute simple s’est déroulée dans la petite église de cette commune aux confins de l’Ile de France et pas très loin de sa maison de campagne prés d’où sa fille et petite fille vivent et où il aimait aller chasser. Il repose maintenant dans le petit cimetiére de ce village. Le Maire et la municipalité, le Stade de Vanves, la section Petanque, Le Comité Bouliste des Hauts de seine… avaient envoyé des gerbes. Maxime Gagliardi, maire adjoint chargé des sports avait fait part de sa tristesse : « J’avais pour Alain, une sincére amitié et un profond respect pour son action ». François Praud, président du Stade de Vanves,  en informant les stadistes avait écrit : « Nous savions sa santé précaire mais nous espérions tous, qu'il allait une nouvelle fois, surmonter son  épreuve.  Hélàs, il en a été autrement . Alain était un Stadiste depuis toujours. La famille Jaunas fait partie du Stade depuis sa création. Nous aimions tous Alain qui était un vrai personnage, chaleureux, jovial, toujours de bonne humeur.  Attachant, dévoué, stadiste dans l'âme, c'était un fervent défenseur des Boules Lyonnaises. Avec ses amis boulistes, il organisait chaque année avec succès, les concours que nous avons tous suivis, sur le terrain annexe A.Roche.  C'est une lourde perte pour sa section et notre association ». La Section Boules Lyonnaises aura l’occasion de lui rendre un hommage plus boulistique un peu plus tard. En attendant, elle prépare le grand challenge de Vanves de Dimanche prochain, 5 Septembre, sur le terain de football annexe.

     

    DANS LE CREUX DE L’OREILLE

     

    ACCOMPAGNEMENT : Dans le dernier numéro de « Regard », le journal du Secours Catholique des Hauts de Seine, l’équipe vanvéenne de cette association apporte ce témoignage titré : « A Vanves, l’accompagnement, c’est sur la durée ! ». Une occasion d’avoir un exemple d’action menée par ses bénévoles qui agissent dans la discrétion : « Cela fait déjà 3 ans que deux bénévoles de l’équipe accompagnent une jeune fille qui s’était retrouvée sans logement, ni ressources. Depuis, elle a suivi une école d’aide soignante et a trouvé du travail. En Mars 2010, elle a aussi obtenu la nationalité française qui va lui permettre de décrocher un CDI et de se reloger plus facilement. Depuis 3 ans, cette jeune fille a acquis beaucoup d’autonomie et de capacité d’initiative, avec un objectif fort : devenir infirmière. Bref, un accompagnement fructueux qui s’est révélé très enrichissant pour les accompagnants et l’ensemble de l’équipe ».

     

    IMMOBILIER : L’Express consacre le numéro de cette semaine à un « marronnier », c'est-à-dire un sujet incontournable et inévitable dans le langage journalistique : Un spécial Immobilier avec un cahier consacré aux Hauts de Seine. « L’acttivité immobilière reprend, les ventes ont fortement progressé, les prix s’orientent de nouveau à la hausse » indiquent ses auteurs en citant quelquesx chiffres pour Vanves : Le prix moyens des appartements anciens est de l’ordre de 4 260 € le m2  (-2,4%). Finalement Vanves est pris dans un étau entre Issy les Moulineaux qui « pratiquent des prix parisiens » et ses voisines comme elles riveraines du Péroph qui se « boboisent »

  • DERNIER HOMMAGE A MONSIEUR STADE DE VANVES

    Vanves a rendu hier après midi un dernier hommage à Maurice Magne à Malakoff. Beaucoup des participants se demandaient bien pourquoi cette Chapelle Saint Marc avait été choisi au lieu de l’église Saint Remy au cœur du centre ancien de notre ville où cet homme a laissé sa marque d’entrepreneur de bâtiment. Bernard Gauducheau entouré de maires adjoints, dont Maxime Gagliardi, François Praud, président du Stade de Vanves qui lui a succédé, entouré de nombreux stadistes, ont paricipé à la cérémonie avec Guy Janvier, conseiller général, Gilbert Chauvin, restaurant et des amis. La chaleur ne manquait pas durant cette cérémonie, temporel et intemporel, avec l’émotion causé par la perte d’un être cher et apprécié de tous, même si « bien sûr, c’était inéluctable…Mais c’est toujours très difficile de quitter quelqu’un qui vous est cher  » comme l’a reconnu François Praud qui lui a rendu hommage. Il a parlé de l’orphelin, enfant de Belleville, de la Butte, de Montmartre, du bâtisseur – « Il a bâti le stade comme il a construit les bâtiments qu’il a édifié : avec des fondations profondes et solides. Il a organisé le Stade comme il a organisé son entreprise avec rigeur, sérieux » - du stade bien sûr dont il a pris les reînes en 1968, alors que sa gestion « trimbalait » et l’a dirigé pendant 25 ans de « main de maître en favorisant le développement du sport, en maintenant l’étyhique et l’esprit sportif en imposant de régles de gestion saines, en responsabilisant les dirigeants : « Mon vieux, me disait il, si tu laisses partir les finances, t’es foutu ! »… et du farouche défenseur des bénévles « sans lesquels rien n’aurait été posssible... Il aurait pu tout aussi bien faire une carrière politique mais son monde c’était le monde associatif, la loi 1901, Pierre de Coubertin, loin du « bling blong » et du « sport business ». Il n’a manqué de citer du bilan  sportifs de ses 25 ans de présidence stadiste : Hand champion de France, Cross du Pèlerin, Gala des enfants. Il a terminé par l’homme et ses passions : La peinture. « C’était son dernier passe te’mps. Sur la terrasse, il laissait aller son imagination et le résultat était toujours étonnant ». Et le bateau : « A l’heure où certains se mettent à la retraite, lui, entrepriit de passer son permis bateau, pas le permis « pêche-promenade », mais le permis au long cours des navires de commerce, rien que pour le plaisir. Sur son Mad Maxd, il parcourait les côtes de l’Atlantique et il connaissait tou les rochers des Glénans ». Après une cérémonie simple avec la lecture des Béatitudes, Maurice Magne a été inhumé au cimetière de Vanves.

  • MAURICE MAGNE, LA MEMOIRE DU STADE DE VANVES A TIRE SA REVERENCE

    Vanves a perdu ses derniers jours l’un des siens qui a mêlé son histoire personnelle avec celle de l’urbanisme et du sport vanvéen : Maurice Magne. Cet homme attachant avait présidé les destinées du Stade de Vanves pendant près de 25 ans. Une association omnisports dont il était une mémoire vivante, toujours prêt à raconter de nombreuses anecdotes et rappeler quelques souvenirs. Il a ainsi mis en route le célèbre cross de Vanves, le grand prix cycliste de Vanves, a suscité la création de plusieurs sections, vu construire la piscine, se transformer le parc municipal des Sports et construit le gymnase qui porte son nom sur le plateau. Il n’y a pas un seul président de section qui n’ait pas un souvenir personnel heureux ou malheureux lorsqu’il prononce le nom de Maurice Magne qui menait de main de maitre le Stade de Vanves, à l’ancienne. Michel Dingreville se souvient aujourd’hui avec émotion de ce blâme qu’il lui avait décerné car il avait posé protesté et manifesté avec ses adhérents de la pétanque contre une hausse de cotisation qui avait l’objet d’un aryicle dans la presse locale avec ce titre : « La pétanque a les boules ! »

     

    Mais voilà, si le stade de Vanves a été un peu sa vie, il a marqué de son empreinte notre commune. Tout d’abord ce vanvéen qui est né à Montmartre où il a passé toute son enfance – « Il faut lire « Les allumettes suédoises » de Robert Sabatier pour retrouver l’atmosphére de mon enfance » aimait-il raconté –  a dirigé une entreprise de bâtiment qui a construit l’immeuble de la BNP à l’angle des rues A.Fratacci et V. Hugo face à la place du Val, les écoles Larmeroux (Primaire), Marceau  (Maternelle), des immeubles comme celui du 1 rue de Châtillon face à l’amandine qu’il aimait fréquenté, le Collége St Ex et le LEP Dardenne qu’il a réhabilité … En arrivant à Vanves dans les années soixante, il s’était alors inscrit à la section Tennis, puis s’est retrouvé au Comité Directeur du stade en 1958-60 avant d’en prendre les reines en 1968 à la suite de Claude Lemel, maire adjoint,   et cela jusqu’en 1994. « Je n’ai jamais eu la prétention de faire du Stade de Vanves un club vedette comme le RCF ou le Stade Français qui, à un certain moment, ont récupéré certains de nos meilleurs éléments. J’avais l’ambition de former les jeunes grâce aux écoles d’initiation aux Sports créée dans chaque section, d’en attirer le maximum. Et cela a été possible grâce à des dirigeants et des entraineurs qui se sont toujours montrés disponibles pour les encadrer et les accompagner » expliquait il. Il avait deux passions qui étaient ses jardins secrets : la voile – il était commandant de bord depuis Juillet 1990 – mais qu’il a arrêté, et la peinture, avec ses tableaux exposés dans son jardin terrasse secret au dessus de son appartement.